Des économistes font leurs prévisions.
Les marchés boursiers n'ont pas encore dit leur dernier mot.
La faute à l’inflation et à la hausse des taux d'intérêt.
L’inflation n’est pas forcément le principal risque.
De plus en plus d’investisseurs institutionnels se laissent tenter.
Malgré une faible inflation, les coûts médicaux continuent de grimper.
Un nouvel assouplissement de la politique monétaire est nécessaire, juge l'institution.
Selon les Services économiques de RBC, les banques centrales devraient maintenir les taux d'intérêt à des niveaux très faibles et veiller à la liquidité des marchés.
Selon un sondage de l’ORHRI, 43 % des employeurs prévoient des hausses salariales inférieures au taux d'inflation québécois, contre 5,7 % disant le contraire.
L’indice Mercer sur la santé financière des régimes de retraite, qui s’établissait à 71 % au 30 juin, a chuté à 60 % au 30 septembre.