Selon un sondage d'Aon Hewitt, les promoteurs de régimes envisagent des stratégies avant-gardistes, mais ne les appliquent pas encore.
L’expiration des brevets et les politiques d’établissement des prix des médicaments génériques seraient des facteurs du ralentissement de la croissance.
Pierre Marion, de la Croix Bleue Medavie, estime que les régimes privés devront revoir les mesures de contrôle de coûts d'assurance médicaments.
Selon les lois en vigueur, le Québec bénéficiera automatiquement de la réduction des prix décrétée par le gouvernement de l’Ontario.
Les coûts diminueront pour les employeurs qui prennent les mesures appropriées, tandis que les autres pourraient voir leurs coûts augmenter en dépit de la réductions du coût des génériques.
L'ACMG demande au gouvernement québécois de considérer toutes les options et l'ensemble des implications avant d'appliquer toute baisse de prix au Québec.
Une comparaison régionale révèle que ces dépenses étaient les plus élevées au Québec, soit 750 $, en hausse de 6,8 % par rapport à 2008.
Près de 12 % des dépenses de médicaments au Canada touchent des médicaments dont le générique sera mis sur le marché en 2010.
La variation du coût mensuel admissible par certificat s'est accrue de 2,2 % au Québec contre 5,5 % partout au pays.