Les pétrolières représentent encore 1 % de son portefeuille.
Entre désinvestissement et intégration ESG, les régimes de retraite hésitent.
Les sociétés en portefeuille seront étroitement surveillées.
Après l’Europe, le mouvement gagne les États-Unis.
Cette fois, au Royaume-Uni.
Les investisseurs institutionnels continuent de se désengager.
L’intérêt pour les projets pétroliers coûteux décline.
La mairesse invite les régimes de retraite à s’en retirer.
Ils exhortent les gouvernement à cesser de les subventionner.
Selon cette analyse.