La moitié des Canadiens seraient prêts à investir 10 % de leurs revenus annuels.
Les nouvelles règles de financement pourraient amener le promoteur à maintenir le régime en vie.
Mais ils y placeront en moyenne 1 100 $ de plus qu'en 2015.
Leur ratio de solvabilité s'est nettement amélioré en 2016, selon Mercer.
Partout au pays… sauf au Québec.
On veut davantage tenir en compte les travailleurs à faibles revenus.
Il faut mieux informer, épauler et outiller.
La majorité serait prête à payer plus cher.
Un outil en ligne invite les participants à faire un suivi plus régulier.
De tous les Canadiens, ce sont eux qui comptent le plus y cotiser, dit BMO.