Mark Bania, directeur général de CareerBuilder Canada, observe qu’il s’agit d’un phénomène qui peut toucher « même les travailleurs les plus dévoués des meilleures entreprises ».
« Pour la plupart des employés, c’est passager. Mais lorsqu’ils se sentent épuisés en permanence, cela a une incidence sur leur travail et, parfois, sur l’organisation dans son ensemble. »
Le sondage réalisé auprès de 500 Canadiens note aussi que près des deux tiers d’entre eux (63 %) sont satisfaits de leur équilibre travail-vie privée. Ce ne sont que 16 % qui en sont déçus.
Finalement, 41 % affirment aimer leur travail et 34 % vont jusqu’à adorer ce qu’ils font. Quelque 4 % affirment ne pas aimer ou détester leur emploi.