
Le programme élargirait et coordonnerait la courtepointe de régimes publics et privés qui offrent déjà une assurance-médicaments à 22 millions de Canadiens.
La chef du Parti vert, Elizabeth May, a soutenu que le programme permettrait de donner accès à deux millions de Canadiens à des médicaments d’ordonnance qu’ils ne pourraient pas se payer autrement.
Elle a affirmé que les verts travailleront avec tous les partis fédéraux, les provinces et d’autres acteurs impliqués dans les soins de santé pour mettre en vigueur le programme – la deuxième étape du système de santé universel du Canada.
En plus, le Parti vert prétend que son approche permettrait une plus grande rigueur dans la certification des médicaments en refusant d’enregistrer les médicaments qui entraînent plus de torts que de bénéfices.
Rappelons qu’un sondage récent de l’Association des pharmaciens du Canada a constaté qu’une majorité des citoyens appuierait cette idée.
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