
Art Babcock, vice-président principal à Aon Hewitt, constate qu’en plus de la souplesse offerte aux employés, il faut bien encadrer les achats qui constituent un pas vers une meilleure santé.
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Avant de créer un compte, les promoteurs de régimes doivent adopter une stratégie pour créer une culture de bien-être que soutient la haute direction, dit-il. « Si elle n’est pas ciblée, la stratégie ne marchera pas. »
M. Babcock suggère que les entreprises devraient examiner les objectifs et stratégies du programme pour promouvoir le bien-être avant de créer un compte de gestion du mieux-être.
Ensuite, il faut établir une liste des achats remboursables. Celle-ci n’a pas besoin d’être exhaustive, mais on doit offrir des lignes directrices quant aux réclamations.
« Certains groupes sonderont leurs employés afin de déterminer les intérêts de ces derniers avant la création de la liste, affirme M. Babcock. Celle-ci devrait être réévaluée sur une base annuelle pour voir les ajouts nécessaires. »
Ce texte est adapté d’un article publié par notre magazine sœur Benefits Canada. Pour en lire davantage sur les comptes soins de santé, cliquez ici.