Les capitaux transfrontaliers et nationaux continueront d’élargir la portion de leur portefeuille allouée à l’immobilier mondial en raison de l’environnement économique favorable, constate un rapport de LaSalle Investment Management.

Les valeurs immobilières maintiennent leur attrait grâce aux taux d’intérêt faibles, aux bas coûts des dettes immobilières et au redressement cyclique soutenu en cours partout dans le monde.

La démographie, la technologie et l’urbanisation stimulent également la demande dans certaines zones.

On souligne également que les revenus stables offrent une prime sur les rendements par rapport aux obligations souveraines et de sociétés.

En Amérique du Nord, les paramètres fondamentaux de l’immobilier se sont améliorés aux États-Unis au début de 2015, mais sont restés plutôt inchangés au Canada et au Mexique. L’immobilier industriel demeure le placement de choix au pays, affirme-t-on.

« Les investisseurs devraient éviter de sacrifier la qualité des actifs et rester dans les marchés des locataires alors que nous entrons dans les dernières phases du cycle de valeur », affirme Jacques Gordon, chef mondial de la recherche et de la stratégie chez LaSalle.

« Dans une récession, alors que les propriétés ont plus de mal à attirer des locataires, ce sont presque toujours les immeubles dans les petits marchés qui perdent le plus de valeur. »

Ce texte est adapté d’un article paru sur le site web de notre publication sœur Benefits Canada.