La mobilisation des employés étant largement reconnue comme un facteur essentiel à la réussite d’une organisation, les 14e études annuelles des Employeurs de choix au Canada offrent aux employeurs l’occasion d’évaluer et de comprendre le risque de non-fidélisation de leurs effectifs.

Le lancement des études, annoncé récemment par Aon Hewitt, permet aux organisations participantes non seulement de mesurer l’indice de mobilisation de leurs employés, mais aussi de comprendre les prochaines étapes qui mèneront vers une mobilisation accrue.

« Nos études révèlent qu’un indice de mobilisation élevé a une incidence favorable sur le taux de roulement, la productivité et l’absentéisme des employés, sur la satisfaction de la clientèle et, dans bien des cas, sur les résultats d’affaires, indique Neil Crawford, associé principal chez Aon Hewitt et responsable de l’étude des Employeurs de choix au Canada. Dans cette optique, l’élaboration d’une feuille de route pour une mobilisation accrue devient une priorité pour un grand nombre d’employeurs – ce qui devrait se répercuter sur le nombre de participants qui s’inscriront cette année. »

Comme par les années passées, les organisations doivent exercer leurs activités au Canada depuis au moins trois ans pour pouvoir participer à l’étude. L’étude des Employeurs de choix au Canada – Petites et moyennes organisations, parrainée par la Queen’s School of Business et le Centre d’études en entrepreneuriat de l’Université Queen’s en partenariat avec Aon Hewitt, est destinée aux organisations qui comptent entre 50 et 399 employés. L’étude des Employeurs de choix au Canada s’adresse aux employeurs qui comptent 400 employés et plus. La participation est gratuite et les organisations ont jusqu’à la fin du mois de mai pour s’inscrire.

« L’obtention d’un indice de mobilisation élevé des employés et la nomination au palmarès des Employeurs de choix représentent incontestablement des défis – et les organisations qui se hissent au palmarès méritent que leur exploit soit mis en valeur, indique M. Crawford. Toutefois, les organisations qui sont déterminées à créer un meilleur milieu de travail pour leurs employés doivent également être applaudies. Nous invitons toutes les organisations admissibles à entreprendre le périple vers une plus grande mobilisation. »