
Comme disait le dicton : « Toute bonne chose a une fin ». C’est dans cet état d’esprit que je tire ma révérence pour relever d’autres défis au plan professionnel après huit ans à l’emploi du magazine Avantages, dont les six dernières à titre de rédacteur en chef.
Il y a huit ans exactement, je faisais mon entrée dans un tout nouveau monde, celui de la retraite, des investissements et des avantages sociaux. Même si cela me paraissait plutôt intimidant au début, je n’ai jamais regretté cette décision.
Ce qui m’a immédiatement frappé dans cette industrie c’est la gentillesse de ses intervenants, notamment chez les sommités les plus en vue. Chacun d’entre eux était prêt à m’accorder du temps pour m’expliquer des concepts de base.
Grâce notamment à l’appui d’Antoine Di Lillo, ancien rédacteur en chef et fondateur d’Avantages, j’ai pu apprivoiser les nombreuses notions de cette industrie assez complexe et développer mon réseau de contacts. Par la suite, j’ai pu côtoyer un grand leader en Jean Goulet, ancien éditeur d’Avantages, qui fut un véritable mentor pendant cinq ans. Enfin, mon patron des deux dernières années, Garth Thomas, m’a permis de me dépasser en me laissant beaucoup de latitude dans la gestion du magazine et de nos nombreux événements. À chacun d’eux, un gros merci.
Je m’en voudrais de ne pas remercier également Paul Williams, qui m’a donné ma première chance, ainsi qu’Yves Bonneau, qui continuera de veiller sur le contenu du magazine.
Dans les derniers mois, nous avons non seulement changé le look du magazine, mais nous avons également voulu nous rapprocher de la communauté par le biais d’articles mettant l’accent sur la réussite de promoteurs de régimes ainsi que par des rencontres avec des personnalités inspirantes de notre industrie. Avantages promet de poursuivre sa transformation au cours des prochains mois avec du sang neuf à sa direction.
Je tiens enfin à souligner le savoir-faire de nos experts au Québec. Nous pouvons être fiers de notre dynamisme et notre sens de l’innovation dans le domaine de la retraite et des avantages sociaux. Notre industrie locale regorge de talents et c’est pourquoi le contenu du magazine demeure toujours à l’affût des plus récentes tendances depuis sa création, en 1989.
Mon avenir professionnel demeurera étroitement lié au secteur des avantages sociaux, mais dans un rôle plus effacé. Il est donc fort possible qu’on se recroise un jour. Entre-temps, je vous remercie, chers lecteurs et collaborateurs, de votre fidélité tout au long de ces années.
Au revoir et au plaisir,
Alexandre Daudelin